Un des albums marquants de 2016, Le port des marins perdus
avait su charmer les lecteurs par son ton mêlant romantisme absolu et
aventures maritimes.
Heureuse surprise, Teresa Radice et Stefano Turconi ont décidé de proposer une suite à leur saga avec Les filles des marins perdus.
Même si l’histoire s’enchâsse directement dans la fin de l’opus précédent (les deux premières planches chevauchent l’ultime conclusion du Port), le scénario prend immédiatement une nouvelle direction en se concentrant sur le Pillar to Post et sa faune bigarrée.
Le maintenant capitaine Allali et Tané, le colosse mélanésien, déjà entre-aperçus jouent également des rôles majeurs. En effet, ils sont partie prenante d’une double intrigue passionnante en devenir et à conclure dans un tome ultérieur.
Réalisation superbe, dessins plein de panache et de mouvement, une
distribution pléthorique totalement maîtrisée et peuplée de
personnalités ô combien agréables, Les filles des marins perdus se montre aussi captivant que séduisant.
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